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Titre : | Les infections urinaires a bacilles a gram négatif |
Auteurs : | Ibtissem Djouder, Auteur ; Bouzeroura Merieme, Auteur ; Nadia Radji, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Setif : Universite ferhat Abbas Setif, 2017 |
Format : | 101 p. / ill. / 30/21 cm |
Accompagnement : | CD ROM |
Langues: | Français |
Mots-clés: | Infection urinaire - Examen cytobactériologique des urines - Bacille à Gram négatif - Résistance aux antibiotiques |
Résumé : |
Introduction : En raison de leur fréquence, les infections urinaires constituent un problème majeur de santé public. Les tableaux cliniques de ces infections définies par une symptomatologie et une gravité très variable ; de la simple colonisation au choc septique. D’où l’intérêt de notre étude qui a pour but de décrire et d’analyser les caractères épidémiologiques des infections urinaires et de déterminer le profil de résistance aux antibiotiques des différents bacilles à Gram négatif isolés.
Matériels et méthodes : Nous avons mené deux études, une rétrospective durant une période de six ans s’étendant du 01/01/2009 au 31/12/2014, l’autre prospective s’étend sur une période de trois mois et demi du 01/01/2017 au 17/04/2017, portant sur tous les examens cytobactériologiques urinaires réalisés au laboratoire de microbiologie du centre hospitalo-universitaire Saadna Mohammad Abdenour Sétif. Résultats et Discussion : Pour l’étude rétrospective, sur 3703 bacilles à Gram négatif isolés ; 80,15 % entérobactéries dont 61,60 % étaient Escherichia coli, avec une prédominance féminine très marqué chez les adultes. Les germes isolés montrent une grande résistance vis-à-vis des antibiotiques notamment les souches d’origine hospitaliers; dont ceux qui restent les plus actifs sont : l’imipenème, les furanes, la fosfomycine et les aminosides, mais certaines souches s’échappent à leur activité. Pour l’étude prospective, 107 bacilles à Gram négatif étaient isolés ; les variables associées aux infections urinaires sont comparables à celles de l’étude rétrospective, avec une augmentation remarquable des entérobactéries productrices de bêta-lactamases à spectre élargi (13,36 % versus 26,80 %). Conclusion : la prévention est le meilleur moyen pour éviter ces infections, limité surtout leurs complications et leur impact économique, on respectant les règles élémentaires d’hygiènes et on utilisant judicieusement les antibiotiques. La mise en place d’une politique de surveillance et le dialogue entre clinicien, biologiste et pharmacien, reste indispensable pour la lutte contre ces infections. |
En ligne : | https://drive.google.com/file/d/1WUyrfn5YE7bFHoWpJnaLT9SpsG1Zot82/view?usp=sharing |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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MPH/00202/17 | MPH/00202 | Mémoire | Salle des périodiques | Mémoires de Pharmacie | Exclu du prêt |