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Nouveauté
Titre : | Puberté précoce : Profil et prise en charge à Sétif |
Auteurs : | Nadira ROUABAH, Auteur ; Belkacem BIOUD, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | [S.l.] : Université Sétif 1 Ferhat Abass, 2022 |
Format : | 255 p. / ill. / 31/21 |
Accompagnement : | CD ROM |
Langues: | Français |
Mots-clés: | puberté précoce; sexe féminin; puberté précoce centrale; idiopathique; gonadotrophines; GnRHa; test dynamique au GnRHa; taille adulte prédite; Tanner. |
Note de contenu : |
-Introduction: La puberté précoce est définie par le développement des caractères sexuels avant l´âge de 8 ans chez la fille et de 9,5 ans chez le garçon. L´objectif de notre étude était de calculer la prévalence de la puberté précoce dans une consultation spécialisée et d’en décrire le profil clinique, paraclinique, étiologique et de prise en charge de même que la qualité de vie des
patients et leurs parents. Méthodes: il s´agit d´une étude transversale descriptive s´étalant de 2018 à 2020 à la consultation d´endocrinologie pédiatrique au pôle pédiatrique de Sétif. Résultats: quarante-neuf (49) enfants ont été inclus. La prévalence était de 6,68%. L´âge moyen des patients était de 6,08 ± 2,39 ans. Nous avons noté une prédominance féminine dans 91,8% (45 filles) avec un sex ratio F/G : 11,25. La tranche d’âge la plus touchée chez les filles est celle des 6-9 ans dans 64,4% et celle des garçons est de 3-6 ans dans 50%. Les signes révélateurs chez la fille étaient dominés par le développement mammaire (61,6%) avec présence des ménarches dans 37,8%. La moyenne de l’âge osseux était de 8,14 +/- 2,67 ans. Sur le plan biologique, dans les pubertés précoces centrales, le taux moyen de LH de base était de 0,93Mui/L la moyenne du pic de LH après stimulation par GnRHa était élevé à 8,99 UI/L avec un rapport moyen pic LH/ pic FSH de 1,33. Les étiologies étaient comme suit chez les filles pubertés précoces centrales 75,6% dominées par l’idiopathiques dans 79,4% et dans les causes périphériques le syndrome de McCune Albright était de 27,2%. Chez les garçons, les pubertés précoces centrales 50% et l’autre moitié était représenté par la cause périphérique. Toutes les causes centrales ont été mises sous traitement par analogue GnRH. La qualité de vie scorée avant et après le traitement, n’avait pas montré de différence significative chez les enfants avant et après le traitement, cependant chez les parents, une légère amélioration après le traitement était notée. Conclusion: notre étude confirme une hausse des cas de puberté précoce centrale, et que cette dernière est plus fréquente chez les filles, et est dominée par la cause idiopathique ; et que laqualité de vie peut être nettement altérée aussi bien chez les patients que les parents. |
En ligne : | http://dspace.univ-setif.dz:8888/jspui/bitstream/123456789/4197/1/PUBERTE%20PRECOCE%20FINALE%20FACULTE.pdf |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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TH/00135/22-1 | TH/00135 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00135/22-2 | TH/00135 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00135/22-3 | TH/00135 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |