Titre :
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HABITUDES DE CONSOMMATION DES ADDITIFS ALIMENTAIRES CHEZ LA POPULATION ALGERIENNE « CAS DES ETUDIANTS DE LA FACULTE DE MEDECINE DE SETIF
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Auteurs :
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Khaled Achouri, Directeur de thèse ;
Letissia KABACHE, Auteur ;
Laeticia KASRI, Auteur ;
Dyhia CHENNIT, Auteur ;
Wassim MAOUCHE, Auteur
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Type de document :
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texte imprimé
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Editeur :
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[S.l.] : Université Sétif 1 Ferhat Abass, 2024
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Format :
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65p / ill. / 31/21
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Accompagnement :
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CD ROM
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Langues:
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Français
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Langues originales:
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Français
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Mots-clés:
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Sensibilisation, Numéros Sin, Etudiants, Faculté de Médecine, Etiquettes nutritionnelles, Habitudes nutritionnelles
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Résumé :
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Contexte : De plus en plus de consommateurs sont exposés aux additifs alimentaires, surtout les étudiants dans les cités universitaires ou la consommation de produits transformés remplace à chaque fois les plats cuisinés, ce qui constitue un élément essentiel de la propagation de la culture du grignotage et est souvent responsables de l'augmentation de la prévalence des maladies non transmissibles. Objectifs : évaluer les caractéristiques de la consommation d'additifs, d'évaluer les connaissances et l'attitude à l'égard de la numérotation internationale (SIN) des additifs alimentaires chez les étudiants de la faculté de Médecine de Sétif. Méthodes : Une étude transversale a été menée sur 146 étudiants de la faculté de Médecine de Sétif. Un questionnaire structuré a été conçu pour évaluer la consommation d'additifs alimentaires, les connaissances et l'attitude des étudiants à l'égard des additifs alimentaires. Résultats : Cette enquête a révélé que les aliments les plus consommés, étaient les produits laitiers, les produits à base de viande, les céréales, les biscuits, les gâteaux, les épices pour poulet, margarine, et les confitures. Et que 76.66 % des produits alimentaires contenaient au moins deux additifs alimentaires, et que l'acide citrique (Sin 330) était présent dans toutes les catégories d'aliments sélectionnées. Elle a révélé aussi que, les étudiants n'avaient pas une connaissance suffisante des numéros sin. Et qu’une proportion non négligeable des étudiants n’adoptait pas une attitude correcte concernant la lecture des étiquettes nutritionnelles. Conclusion : La consommation quotidienne d'additifs alimentaires est liée à un manque de connaissances de la numérotation Sin et à des attitudes négatives concernant la lecture des étiquettes nutritionnelles de la part des étudiants de la faculté de Médecine qui devraient être vaincues par des programmes d'éducation des consommateurs sur les additifsalimentaires.
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En ligne :
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https://drive.google.com/file/d/13C9VLM6eED86r8m5j1q3oMXzDf2VPD8F/view?usp=sharing
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