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Nouveauté
Titre : | Etude de l'infection génitale à papillomavirus humain chez les femmes infectées par le VIH suivies au centre de référence IST/VIH/SIDA de Sétif |
Auteurs : | Mounira Rais, Auteur ; Abdelmadjid Lacheheb, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | [S.l.] : Université Ferhat Abbas-Sétif1, 2020 |
Format : | 152 P. / ill. / 30/21 cm |
Accompagnement : | CD Rom |
Langues: | Français |
Mots-clés: | Papillomavirus humain, génotypage, cancer du col utérin, VIH, vaccination. |
Résumé : |
L’infection génitale à HPV est reconnue comme une des plus fréquentes, sinon la plus fréquente, des infections transmissibles sexuellement.
Nous avons réalisé une étude longitudinale entre mai et octobre 2018, Elle s’est intéressée à 100 femmes vivant avec le VIH, suivies dans notre centre IST/VIH/SIDA. Le but de ce travail était de déterminer la prévalence du HPV et les génotypes circulants, ainsi que les facteurs de risque qui influent sur la coïnfection HPV –VIH. La prévalence globale de l’infection HPV a été estimée à 32%, Il s’agit dans 100 % des cas des HPV à haut risque (HPVHR), Nous avons trouvé une grande diversité de génotypes HPVHR, les plus communs individuellement étaient les HPV52, 16 et 18 et le HPV58, La prévalence la plus élevée a été trouvée dans les groupes de génotype 52, 25 %, Les HPV16 et18 étaient moins fréquents (15,6 %), Nous avions autant d’infections uniques que multiples, Quand elles sont multiples on peut y retrouver l’association de 2 jusqu’à 7 HPV,100% des infections uniques sont dues un HPVHR, La cytologie cervicale était anormale chez 66% (81,3% chez la population HPV+), avec prédominance des lésions inflammatoires (75% HPV+), Le facteur de risque déterminant le plus important de l’infection par le HPV et le HPVHR dans cette série était un faible nombre de lymphocytes T CD4 < 500 /mm3 retrouvé chez 72% des participantes HPV positif, D’autres facteurs de risque étaient corrélés à un taux d’infection HPHR élevé, en l’occurrence, la précocité du premier rapport sexuel, l’infection chez les femmes veuves, le niveau élevé de la charge virale VIH, la durée prolongée de la prise de contraception orale ,l’existence de condylomes vulvaires et les lésions cervicales inflammatoires décelées au FCU ainsi que les lésions de haut grade Notre étude est une base de données initiale, devant être complétée par une étude multicentrique pour déterminer d’une façon précise les génotypes les plus fréquents chez la femme infectée par VIH, afin de discuter l’introduction du vaccin contre le HPV en Algérie chez la population générale et surtout chez la femme vivant avec le VIH. |
En ligne : | https://drive.google.com/file/d/1oxJ-H2bVgBOMF7M2xkeZIa-RsDxry-tT/view?usp=sharing |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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TH/00114/20-1 | TH/00114 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00114/20-2 | TH/00114 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00114/20-3 | TH/00114 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00114/20-4 | TH/00114 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |
TH/00114/20-5 | TH/00114 | Thèse | Salle des périodiques | Thèses de doctorat | Exclu du prêt |