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Nouveauté
Titre : | utilisation des plantes médicinales a potentiel toxique : Enquête au niveau de la région de setif |
Auteurs : | Donia Houas, Auteur ; Khaoula Amghar, Auteur ; Mohamed Amine Kerdoun, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | [S.l.] : Université Ferhat Abbas-Sétif1, 2020 |
Format : | 71 p. / ill. / 30/21cm |
Accompagnement : | CD ROM |
Langues: | Français |
Mots-clés: | plantes toxique;médecine traditionnelle;phytothérapie;Sétif |
Résumé : |
Introduction
La phytothérapie est en croissance continue puisque les gens ne cessent plus de chercher de nouveaux remèdes alternatifs. Les plantes toxiques ont toujours occupé une place importante dans la phytothérapie et les traditions de la médication dans la région de SETIF. L’objectif de ce travail est de préciser la nature et la fréquence de l'usage des plantes à potentiel toxique et de recueillir l'ensemble des informations en ce qui concerne leurs effets chez les consommateurs. Matériel et méthodes Une étude épidémiologique transversale à visée analytique a été menée sur un échantillon de 521 personnes choisi au hasard entre le 01 janvier et le 01 mars 2020. Les informations ont été recueillies à l'aide d'un questionnaire établi en arabe et traités par le logiciel d'analyse des données statistiques "EXCEL 2013". Les tests statistiques utilisés sont : test de khi2, test de student, test de Fisher, test de khi2 corrigé par Yates. L'approche bibliographique a permis d'identifier les plantes et de compléter ces informations Résultats L'enquête montre que 91% des personnes interrogées ont au moins utilisé une fois, une plante à potentiel toxique. L'âge moyen de la population était de 40 ans ±17ans avec une prédominance du sexe féminine et la majorité vivent aux environs de Sétif et ont un niveau universitaire, 64% de la population étudiée consultent leurs entourage avant l'utilisation et 71% ne prennent aucune précautions préalable, 91% de la population questionnée pensent que les plantes sont efficaces et ne présente aucun danger et 73% ont observé une amélioration tandis que 23% ont observés des effets indésirables dont la majorité sont d'origine cutanée. Discussion et conclusion Les résultats ont montré une large utilisation de plantes médicinales à potentiel toxique par la population étudiée, et qu'il se pratique de manière anarchique et non contrôlée. On conclut qu'il est nécessaire de s'intéresser de plus à la phytothérapie du côté scientifique et législatif. |
En ligne : | https://drive.google.com/file/d/1CGExjCaCFaaHjXM8jIb6gFYVHR2Lbscq/view?usp=sharing |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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MPH/00405/20 | MPH/00405 | Mémoire | Salle des périodiques | Mémoires de Pharmacie | Exclu du prêt |